Jean-Thomas Cornelis /Chargé de cours

University of Liege / Soil science and biogeochemistry

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Mes principales préoccupations portent sur la façon dont l’homme a « réussi » à perturber les équilibres des éléments et de l’énergie dans les écosystèmes terrestres, à très court terme, ce qui signifie que les bassins et les flux d’éléments essentiels pour la faune et la flore sont maintenant totalement déséquilibrés. Nous sommes responsables de la création d’agro-écosystèmes « paresseux » en leur apportant les nutriments quand ils en ont besoin et dans des conditions « optimales » (en termes de productivité). Cela implique que les plantes ne développent plus les interactions nécessaires avec les microbiomes, les minéraux et la matière organique, qui seraient responsables d’agro-écosystèmes plus résistants et résistants.
C’est ainsi que nous vivons : plus vite et plus simplement. Les changements que nous devons mettre en œuvre visent donc à rétablir les liens entre les gens et la nature. C’est ce que nous essayons de faire dans notre famille en achetant nos légumes dans une ferme de permaculture locale (Graines d’Avenir, dirigée par François Wiaux).
De cette façon, nos deux petits garçons peuvent comprendre l’énergie nécessaire pour produire de la nourriture. La difficulté, c’est que si on veut consommer mieux, c’est plus cher. Mais la solution est de consommer moins, mais mieux.
Dans ma vie professionnelle, je fais de mon mieux pour utiliser les transports publics.
Mais c’est dommage qu’un vol coûte moins cher à Vienne qu’un voyage en train. Nous devons recevoir une subvention lorsque nous démontrons que nous utilisons le train plutôt que l’avion.
Je demanderais une loi non seulement pour le climat mais aussi pour la préservation de la Terre et de l’environnement qui vise à accorder des actions/initiatives en faveur de la préservation de l’environnement, c’est-à-dire l’équilibre des flux naturels dans les écosystèmes terrestres et océaniques : en 2020, l’homme le plus riche ne sera pas celui qui investit et gagne plus d’argent mais celui qui investit et tire le plus grand profit de la nature.

Originally posted 2018-04-25 15:37:09.

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