Alessandra Carion / PhD student

UNamur / Master in organism biology and ecology

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Je travaille actuellement dans un laboratoire de l’Université de Namur, dans le département de biologie, où nous nous préoccupons de la façon dont l’environnement peut affecter les organismes et comment ces organismes peuvent faire face aux nouvelles conditions environnementales afin de s’acclimater, s’adapter et évoluer dans un environnement changeant. Lorsque des changements environnementaux drastiques se produisent, les organismes peuvent avoir des difficultés à faire face à ces nouvelles conditions environnementales, ce qui entraîne une diminution de la survie, mais aussi une diminution du nombre d’individus qui survivent jusqu’à l’âge de reproduction.
Il y a quelques années, j’ai commencé à changer progressivement ma façon de consommer afin de minimiser mon impact sur l’environnement :

  • vivre dans un bâtiment très isolé
  • consommer des aliments locaux, saisonniers et biologiques en faisant les courses le plus possible dans une coopérative agricole
  • réduire la consommation d’aliments et de marchandises emballés dans du plastique
  • Penser à mes habitudes de voyage
    Même si ces actions semblent faciles à réaliser, nous sommes toujours confrontés à des difficultés. L’une d’entre elles est la difficulté de consommer comme ça quand on n’a pas la possibilité d’aller au marcher ou à la coopérative agricole (parce que c’est loin ou que c’est fermé tôt). Même si vous y avez accès, vous réalisez que le plastique et le papier sont utilisés partout (vous allez chez le boucher, vous avez du plastique, vous allez à la boulangerie vous avez du papier,…)
    Je pense que si nous voulons vraiment donner à la population la possibilité de consommer intelligemment et sans augmentation des dépenses, nous avons besoin de décisions politiques au niveau de notre pays, mais aussi au niveau européen, afin de normaliser les règles. L’interdiction du plastique dans les supermarchés pour les aliments qui n’en ont pas besoin (fruits et légumes), les obliger à développer l’accès aux aliments en vrac, interdire l’utilisation de pailles partout en Europe, augmenter les taxes sur la production alimentaire non biologique, etc….
    Voici seulement quelques exemples de ce qui peut être fait en matière de consommation alimentaire, mais il y a beaucoup d’autres secteurs où les politiques peuvent faire pression à travers leurs décisions (isolement croissant des maisons belges, promotion de l’utilisation des transports publics en augmentant l’accès et en réduisant leurs coûts, utilisation des taxes sur les carburants dans le développement des énergies renouvelables, développement des zones vertes dans notre pays surpeuplé pour promouvoir la biodiversité, interdiction des produits chimiques pouvant avoir des effets néfastes sur la santé (pas exclusivement sur la santé humaine), etc.
    Il est urgent que notre pays et l’Europe prennent des mesures pour promouvoir un meilleur mode de consommation et limiter le changement climatique et la perte de biodiversité.

Originally posted 2018-06-04 21:30:52.

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