Joanna Suliga / PhD researcher

Vrije Universiteit Brussel / Msc in Environmental Engineering

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

La protection de l’environnement n’est pas seulement l’une de mes préoccupations personnelles, mais aussi mes intérêts professionnels. Je suis membre du projet de recherche HiWET qui vise à soutenir le développement de pratiques de gestion plus durables dans les zones humides par l’intégration d’études écologiques, la télédétection, la modélisation hydrologique et le bilan énergétique. Les terres humides en tant que zone de transition entre les écosystèmes aquatiques et terrestres comptent parmi les habitats les plus biodiversifiés de notre planète. Il est prouvé que l’atténuation des effets du changement climatique est particulièrement efficace dans les zones humides tourbeuses abondamment présentes dans les régions climatiques tempérées et (sub)arctiques de l’hémisphère Nord. Les tourbières jouent un rôle dans l’amélioration de la qualité de l’eau, le recyclage ou le stockage de grandes quantités d’azote, de phosphore, de silice biogénique et de carbone. Ils affectent également le régime hydrologique en stockant et en libérant de l’eau pendant les saisons sèches et humides, atténuant ainsi l’impact des inondations ou des sécheresses respectivement. La dégradation des zones humides est souvent un processus irréversible qui conduit non seulement à l’extinction d’espèces végétales et animales, mais aussi au changement climatique local et mondial par la libération de carbone stocké. Malheureusement, ces précieux écosystèmes disparaissent lentement du paysage européen, ce qui signifie que si nous ne combinons pas les efforts des gestionnaires locaux, des écologistes, des scientifiques et des parties prenantes, nous pouvons les perdre à jamais.
Dans ma vie professionnelle et privée, j’encourage fortement les gens à faire un effort collectif pour protéger l’environnement parce que chaque geste compte. De plus, je suis convaincu qu’être plus pro-environnemental n’est pas un sacrifice mais un investissement à long terme dans le bien-être. Je préfère marcher parce que c’est la façon la plus naturelle de voyager. Je choisis des matériaux naturels plutôt qu’artificiels car ils sont plus faciles à recycler et moins toxiques pour moi et pour l’environnement. Les contenants de plastique contaminent lentement les aliments entreposés, alors j’utilise plutôt des boîtes et des bocaux en verre. J’achète des produits agricoles locaux, je mange végétarien et j’emporte des sacs de coton pour chaque achat. Je réduis le nombre de choses que j’ai en attendant simplement quelques semaines avant d’acheter quelque chose de nouveau pour voir si c’est essentiel.

Originally posted 2018-06-18 04:56:27.

%d blogueurs aiment cette page :