Muriel Vervaeke / Expert wildlife disease management

Agency for Nature and Forests / Wildlife epidemiology & wildlife ecology

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Dans mon domaine d’expertise, je constate que le changement climatique a un impact sur la propagation des espèces envahissantes et sur la propagation des maladies sauvages.
Au cours de la dernière décennie, nous avons observé en Europe une augmentation de la propagation des vecteurs de la faune sauvage (par exemple les tiques et les moustiques) et des agents pathogènes de la faune sauvage. Les nouvelles infections zoonotiques à transmission vectorielle, qui entraînent une menace croissante pour la santé humaine et animale, en sont un exemple.
Dans mon mode de vie personnel, je cherche à réduire l’empreinte écologique et la consommation d’énergie de moi-même et de ma famille, par exemple en utilisant au maximum le vélo et les transports publics, en réduisant les transports en voiture et en avion, en réduisant la consommation de viande dans ma famille, en achetant des aliments locaux et en réduisant les produits importés, en utilisant des matériaux recyclés et fabriqués localement pour construire notre maison, des douches courtes et non quotidiennes avec une douche à eau réduite, pour diminuer la consommation des matériaux plastiques (sacs, nourriture, jouets, cuisine et articles domestiques, etc.), des bouteilles, des boissons,.
Lorsque l’on cherche à réduire l’empreinte écologique et la consommation d’énergie de ma famille et de moi-même, il y a quelques difficultés : il est moins cher et plus facile de cuisiner un repas avec de la viande (trop bon marché) qu’un repas végétarien, il est difficile de résister aux billets d’avion bon marché pour explorer le monde, les vêtements écologiques durables, les aliments et matériaux de construction sont très chers que les autres….
Nous avons besoin d’urgence de changements clés dans la société et au niveau politique, tels que :

  • l’imposition des grandes entreprises et du grand capital cfr. Piketty et l’utilisation de ces revenus fiscaux pour le développement durable.
  • une taxe carbone pour réduire la consommation de combustibles fossiles : réduire les émissions des transports (bateau, avion, voiture), de l’industrie, des serres, ….
  • arrêter l’abattage des forêts naturelles et la replantation des forêts
  • diminuer la production de viande,
  • un meilleur aménagement de l’espace (par exemple, mettre un terme au développement des rubans), en augmentant la densification de nos noyaux
  • introduire une taxe sur tous les biens (transport, viande et autres aliments, …) basée sur l’empreinte écologique et les besoins énergétiques pour la production des biens, non seulement pour les producteurs mais aussi pour les consommateurs
  • de meilleurs accords internationaux (réduction plus importante des émissions de carbone, ajustements frontaliers des émissions de carbone)

Originally posted 2018-05-31 07:43:50.

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