Université Libre de Bruxelles / Evolution, Population Genetics
La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.
La pression qu’exercent nos sociétés humaines sur l’environnement est de plus en plus forte. J’ai pu le constater dans le cadre de mes recherches sur la biodiversité, qui me mènent à parcourir l’Europe. La comparaison de notre environnement en Europe occidentale avec celui des régions plus à l’Est, qui ont connu un développement économique moindre pour des raisons historiques, est saisissante, aussi bien au niveau des paysages que de la quantité et la diversité des plantes et animaux rencontrés. Nous ne pouvons pourtant pas ignorer cette dégradation et vivre déconnecté de notre environnement : nous en faisons partie et en dépendons largement. Bien que nous prenions de plus en plus conscience du problème, les mesures prises pour atténuer notre impact me semblent anecdotiques et bien trop timides.
De mon côté, depuis plusieurs années, j’utilise exclusivement le vélo pour me rendre à mon travail. Nous pouvons agir chacun de notre côté pour diminuer notre impact sur l’environnement. Pourtant, il me semble important de pouvoir continuer à circuler librement pour permettre les échanges culturels ; en particulier en science, les échanges internationaux sont essentiels. Je rêve que nos sociétés mettent tout en œuvre pour développer des transports publics performants beaucoup moins polluants.
Originally posted 2018-06-14 11:06:19.