Université de Liège / Microbial ecology and taxonomy
La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.
Préoccupations : Je travaille principalement sur la diversité microbienne dans les régions polaires. Il est évident que le changement climatique et l’influence humaine ont un impact important sur le fonctionnement des écosystèmes, la biodiversité des animaux et des plantes et le risque d’invasion par des espèces non indigènes. Dans l’Arctique, les populations humaines sont très touchées dans leur mode de vie et leur culture. Ceci est aggravé par les pollutions par les métaux lourds, les hydrocarbures, les plastiques, mais aussi la pêche, le tourisme, l’exploitation des ressources minérales (au Nord). Avec le réchauffement climatique, il y aura plus de proliférations de cyanobactéries toxiques dans les lacs. En tant que biologiste, je comprends les risques décrits dans le rapport du GIEC.
Changements mis en œuvre : J’ai cessé d’utiliser les voyages en avion pour les vacances, et je ne prends l’avion que pour le travail. Je suis allée en train à des congrès à Vienne et de Davos en 2018. Lors des réunions scientifiques, je propose toujours d’intégrer des vidéoconférences pour s’habituer à cette forme de communication. Chez moi, j’ai installé des panneaux solaires et utilisé des matériaux naturels pour l’isolation et l’argile. J’ai remplacé mon fournisseur d’électricité par une coopérative vendant de l’énergie verte et promue par Greenpeace (Cociter). Je suis membre d’un GAC (Groupe d’Achat Commun) pour manger plus d’aliments produits localement et j’achète le reste dans un magasin bio, en essayant de minimiser les déchets. Je suis également membre de l’association Nature et Progrès et nous organisons des rencontres sur des sujets comme la transition, zéro déchet, etc…. Je voudrais remplacer ma voiture par un vélo électrique pour venir travailler.
Difficultés : Pour la mobilité, il n’y a pas de piste cyclable entre mon domicile et le campus, et pas assez de fréquence de train le week-end. Changements clés qui sont souhaitables : – Arrêter de considérer les ressources de la Terre comme infiniment exploitables et source de profit pour les entreprises privées sans tenir compte des impacts sur les écosystèmes (y compris l’homme) – Financement augmenté pour la recherche sur les énergies et matériaux renouvelables, l’acceptation socio-économique de la transition – Soutenir une meilleure production agricole locale afin que les agriculteurs et producteurs de légumes et fruits puissent avoir un revenu décent. Soutenir les pratiques agroécologiques, l’agroforesterie et les approches qui respectent la vie du sol,
- Contrebalancer la publicité en quantifiant les coûts carbone de toutes nos activités.
- Intégrer dans les écoles la compréhension des relations écologiques, l’économie circulaire, l’intégration de l’homme dans la nature….
- Prêter attention à la justice sociale et à la solidarité, car c’est la clé de l’acceptation des changements, et donner aux gens les outils nécessaires pour assurer leur transition et leur avenir dans un monde en mutation.
Originally posted 2018-05-23 04:19:35.