UMONS / Biological and Medical Sciences
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Principales préoccupations : En tant que biologiste, je m’inquiète d’abord des conséquences de notre mode de vie humain sur la biodiversité. Nos activités humaines par les changements climatiques engendrés, la pollution et le dérangement de la vie sauvage sont des inducteurs clés de la perte de la diversité des espèces, de la diminution du nombre d’animaux, de végétaux et de microbes et de la fragilisation de nos écosystèmes et paysages. En tant que chercheur en santé humaine, je m’inquiète du parallèle potentiel entre vulnérabilité de la vie sauvage et perturbations en santé humaine (perte de qualité nutritionnelle, perturbations endocriniennes, maladies neurodégénératives).
Changements / actions mis en œuvre : Dans notre vie quotidienne, pour réduire notre empreinte carbone et protéger notre climat, nous avons choisi une maison proche d’une gare et d’écoles, mais aussi un fournisseur d’énergie renouvelable, des appareils A+++ chaque fois que nous remplaçons de vieux appareils ménagers. Nous avons isolé le toit de notre maison et acheté une nouvelle chaudière à condensation. Nous essayons d’acheter de la nourriture produite localement.
Pour gérer les ressources limitées, nous avons placé des économiseurs d’eau sur chaque robinet et douche, des réservoirs d’eau de pluie, des appareils à faible consommation d’énergie et un poêle à haut rendement. Nous trions nos déchets, nous avons un compost pour tous les restes végétaux. Nous donnons ou vendons le matériel et les vêtements non utilisés.
Nous essayons de limiter la pollution en utilisant des produits biodégradables pour la rénovation de notre maison ou pour le ménage (peintures, colles, détergents). La plupart de nos aliments sont labellisés bio (moins de pollution pour la terre et les agriculteurs).
Pour prendre soin de la biodiversité, nous n’utilisons pas de pesticides dans notre jardin, nous avons construit un étang où les grenouilles, les tritons et les libellules sont venus naturellement, nous avons placé des nichoirs, de la nourriture pour les oiseaux en hiver, nous avons une partie de notre herbe laissée haute pendant l’été, un tas de bois, un vieux tronc et nous faisons régulièrement le comptage des oiseaux ou des animaux dans notre jardin ou la campagne environnante.
Difficultés : Il est difficile de calculer notre empreinte écologique (peu de sites Internet accessibles avec une évaluation complète et précise), de trouver des informations adéquates sur l’origine géographique, les méthodes de culture et de fabrication des aliments. C’est toujours un défi de trouver des meubles fabriqués localement avec du bois local cultivé de façon durable.
Principaux changements nécessaires de la part de la société ou au niveau politique : Nous devons tenir compte de la préservation du climat et de la biodiversité dans chaque décision politique que nous prenons, quel qu’en soit le sujet. Nous avons besoin de toute urgence d’une nouvelle politique de mobilité durable, mais aussi d’un changement vers plus de durabilité pour nos activités industrielles ou agricoles et d’actions importantes en matière d’éducation et de prévention sanitaire.
Originally posted 2018-07-08 00:45:04.