Dimitri Crespin / Junior Researcher

VUB / Hydrology

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Mes recherches visent à améliorer la résilience des villes en termes de risques d’inondation. D’ailleurs, les effets du changement climatique doivent être pris en compte, car les mesures montrent que les précipitations extrêmes sont plus fréquentes. Malheureusement, cette implication sur le cycle de l’eau est encore rarement mise en œuvre dans les politiques de gestion urbaine, alors que les cours d’eau et les systèmes de drainage actuels ne sont pas en mesure de faire face à cette augmentation des écoulements. Si aucune mesure n’est prise, cette situation entraînera des inondations plus fréquentes dans un avenir proche, affectant les habitations, l’environnement naturel et peut-être les infrastructures urbaines vitales.
Dans ma vie de tous les jours, je m’assure de vivre le plus possible en accord avec mes normes écologiques. Cela comprend le vélo, un régime végétarien, des achats d’occasion, le compostage des déchets organiques, la cuisson de produits locaux, saisonniers et biologiques, la réutilisation de l’eau de pluie. Dans mon environnement social, nous agissons autant que possible pour sensibiliser, par des marches de nettoyage ou la promotion de l’agriculture locale. Au sein de notre département de recherche, l’équipe verte met en œuvre des actions à petite échelle afin de réduire notre empreinte carbone, mais aussi en coordination avec d’autres départements à travers l’université pour tenter d’avoir un impact à plus grande échelle.
La plus grande difficulté pour moi est de réduire mon impact personnel dû au transport de loisirs. Avec des amis dispersés dans le monde entier et l’habitude de voyager à l’étranger pour les vacances, repenser ma consommation d’énergie en termes de transport, en particulier les vols commerciaux, apparaît encore comme une restriction des libertés. Au niveau de la société, l’environnement n’apparaît pas encore comme la priorité principale des nouveaux développements, au mieux un bonus possible. Ainsi, la non-reconnaissance d’objectifs environnementaux clairs ne permet pas aux projets et politiques décisifs de fixer des objectifs ambitieux pour éviter la dégradation écologique. Cette configuration politique ne laisse à la société que le choix d’agir, ce qui entraîne des impacts positifs faibles et lents.
À mon avis, un changement clé serait d’évaluer la valeur (monétaire si nécessaire) de notre environnement naturel restant et de l’intégrer dans les calculs de la richesse nationale et du budget. Bien qu’assez complexe à évaluer, cela peut conduire à une reconnaissance complète des avantages environnementaux pour la société et à la nécessité de les préserver. Cela exigerait également d’appliquer les coûts environnementaux à tous les produits et services, reflétant le prix actuellement payé par notre environnement, notre bien commun (par opposition à la propriété privée), et affectant notre santé, l’agriculture, la société locale et la future progéniture.

Originally posted 2018-05-09 17:40:04.

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