Ellen Decaestecker / Full Professor

KU Leuven, Aquatic Biology

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Ma principale préoccupation dans mon domaine d’expertise de la biologie aquatique, de l’écologie et de l’évolution est que le déclin drastique du nombre d’espèces limitera les fonctions importantes des écosystèmes et que cela pourrait se produire encore plus rapidement que maintenant. Certaines espèces peuvent s’adapter ou migrer, mais la question est de savoir si elles seront assez rapides et pour la plupart des espèces, une adaptation aussi rapide est probablement impossible. Ce qui me préoccupe le plus, c’est le franchissement de points de basculement, qui peuvent entraver des conditions écologiques importantes dans des écosystèmes particuliers et conduire à des points de non-retour, dans lesquels il peut devenir difficile de vivre (par exemple, conditions extrêmes de sécheresse, inondations, acidification des océans, conditions hypoxiques des écosystèmes d’eau douce).
Dans la vie quotidienne, j’essaie de réduire mon empreinte écologique par le biais de ma mobilité (train-vélo), en participant à des projets locaux de reboisement, en encourageant l’utilisation durable des ressources (eau) et en réduisant la consommation de viande. Je suis convaincu que des changements dans les habitudes de consommation personnelles (à chaîne courte) peuvent faciliter de grands changements sociétaux (par exemple dans la façon dont les produits sont fabriqués).
Les plus grandes difficultés sont les suivantes : notre mode de vie trépidant ne facilite pas le choix du moyen de transport le plus durable ; la charge administrative avant que les choses ne se réalisent ; induire un changement de comportement du grand public ; les approches globales générales sont trop lentes ; le conflit entre développement énergétique durable et conservation de la biodiversité (les deux sont idéalement combinés).
Les principaux changements dont nous avons besoin au niveau politique sont de repenser radicalement la mobilité et d’encourager les gens à utiliser les transports durables (taxes sur les vols, suppression des subventions pour les voitures de société). Nous avons besoin de subventions pour le reboisement, et nous en avons besoin rapidement. Des mesures doivent être prises dans des cas bien étudiés (par exemple, de quel sol avons-nous besoin, par où commençons-nous le reboisement ?) Encouragement des objectifs de développement durable, investissement dans des technologies innovantes à fort impact. Soutien aux personnes qui en ont le plus besoin (et qui ne peuvent se permettre des modifications coûteuses pour réduire leurs émissions de CO2).

Originally posted 2018-06-01 06:33:11.

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