Lucette Flandroy / Retired senior expert

Federal public Service Health, Food Chain Safety & Environment / Biodiversity & health, biosafety

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Préoccupations :

  • Interconnexions entre biodiversité/climat/énergie/pollutions/santé/économie/ commerce/misère/comportements non respectueux de l’environnement : problèmes amplificatifs niés. Heureusement : l’évolution des facteurs essentiels des problèmes pourrait donc tous les améliorer: le changement d’utilisation des terres (pour l’alimentation animale, les agrocarburants, les plantes textiles, les bois de meubles, les mines d’extraction) est un des principaux moteurs du déclin de la biodiversité et des services écosystémiques, provoque le changement climatique, les maladies émergentes, la perte de terres pour la nourriture des populations pauvres ; le modèle agroalimentaire dominant nécessite des combustibles fossiles, des intrants non renouvelables, générant des pollutions, un changement climatique, une diminution de la biodiversité et une préférence à la quantité plutôt qu’ à la qualité de la nourriture.
  • Les cercles vicieux de la consommation et de l’individualité à travers le marketing dans le paradigme de la croissance.
    Actions privées :
  • Résidence : appartement (empreinte écologique réduite)
  • Nourriture : végétarienne 5 fois/semaine, légumes d’un GASAP (= habitants achetant directement d’un agriculteur biologique belge), compostage.
  • Vêtements : maintenant principalement d’occasion, quand besoin.
  • Mobilier : partiellement récupéré auprès des parents.
  • Hygiène/confort : produits écologiques ; économie d’eau et d’éclairage (bientôt fournisseur d’énergie verte) ; pas de chauffage au-dessus de 18°C ; pas de lave-vaisselle ; même téléphone mobile (pas de smart), TV, voiture d’occasion depuis de nombreuses années.
  • Mobilité : transports publics vers le centre-ville ; pas d’avion à moins de 1500km.
  • Investissement sociétal : création d’un jardin communautaire agroécologique urbain ; participation à un projet de valorisation de la biodiversité pour la gestion des eaux urbaines (et du changement climatique) ; utilisation de la plateforme Ecosia ; participation à d’autres forums de transition et organisations environnementales.

    Éviter :
  • voiture vers les quartiers de Bruxelles (mauvais transports publics)…..
  • …….et pour certaines vacances (liberté).
  • des voyages totalement lointains (découverte de natures et de cultures diverses, potentiellement moins chers que des vacances sur la côte belge).
    Les produits biologiques sont chers, sauf s’ils sont achetés directement au producteur. Temps nécessaire pour des comportements respectueux de l’environnement.
    Changements sociétaux/politiques nécessaires :
  • Formation interdisciplinaire/transdisciplinaire + collaborative + à la « décroissance » tout au long des études et de la pratique de la vie.
  • Intégrer de manière contraignante la protection de l’environnement (mondial et non principalement national) dans toutes les politiques, en particulier dans l’économie, par le biais d’accords internationaux.
  • Développer l’économie circulaire et les énergies renouvelables sans impacts négatifs sur l’environnement, le social, la santé, les relations Nord/Sud.
  • Favoriser financièrement les produits/méthodes écologiques, et non les activités/comportements non durables.
  • Normes/quota/contrôles/sanctions dissuasives (y compris pour les plus riches) concernant les activités non durables.
  • Taxer les voyages en avion de façon très proportionnelle au nombre/année/personne.
  • Améliorer les transports publics alternatifs à l’avion et à la voiture.
  • Envisager sérieusement des modèles économiques alternatifs à la croissance.
  • Éviter vraiment les conflits d’intérêts au sein des institutions publiques et de leurs organes consultatifs.
  • Penser à long terme et à préventif, et non principalement et uniquement à court terme et curatif, dans les décisions politiques et sociétales.
  • Partager les avantages financiers des technologies d’automatisation avec le public : mêmes salaires avec des horaires de travail réduits, chômage réduit, temps à consacrer à des activités écologiques consommatrices de temps.
  • Changer le principal modèle agroalimentaire actuel en faveur de l’agroécologie locale ; réduire la consommation de viande.

Originally posted 2018-07-02 03:04:44.

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