René-Marie Lafontaine / Chercheur

IRSNB-KBIN / Conservation Biologist

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Ma principale préoccupation, en tant que biologiste de la conservation, est la disparition de notre monde naturel, de la faune et des oiseaux en particulier. Je suis naturaliste depuis plus de 50 ans et biologiste de la conservation depuis plus de 35 ans maintenant, travaillant principalement en Europe mais aussi dans les milieux tropicaux et boréaux.
J’ai maintenant eu la chance d’avoir vu plus de 6800 espèces d’oiseaux sur cette planète ; mais ce qui m’inquiète, c’est que tant de populations de tant d’espèces que j’ai vues diminuent à un rythme élevé. cela est dû principalement à la destruction directe de leurs habitats ici ou à l’étranger. L’augmentation continue de l’empiètement de notre population humaine toujours croissante sur le monde naturel m’inquiète sérieusement. J’ai toujours cherché à contribuer à stopper et à inverser la perte de biodiversité, à restaurer les populations et les habitats fauniques. La conservation de la biodiversité ne peut se limiter à protéger uniquement les espèces dont nous avons besoin pour notre propre survie. Je suis fermement convaincu qu’il est de notre responsabilité de sauver autant d’espèces que possible, en particulier tous les grands vertébrés.
Ma principale contribution a été d’étudier et de surveiller l’impact de nos pratiques sur les aires protégées ou non protégées et de proposer des mesures de gestion pour restaurer ou maintenir des habitats naturels ou plus souvent semi-naturels.
Changements clés nécessaires : Je considère que la seule véritable façon de résoudre le problème auquel nous sommes confrontés est de réduire l’empreinte de nos espèces sur la planète et que la meilleure façon de le faire est de réduire la population humaine. Nous représentons maintenant, nous-mêmes et nos animaux domestiques, plus de 98 % de la biomasse des grands vertébrés. Tous les autres grands vertébrés ne représentent aujourd’hui que 2% de la biomasse et ce pourcentage est encore en diminution, ce qui n’est en aucun cas durable. La croissance de la population humaine (et l’augmentation de notre empreinte individuelle) est le principal problème à résoudre. Nous devons également tendre à modifier en profondeur le système économique actuel, qui est en train de devenir incontrôlable. La productivité doit cesser d’être considérée comme l’objectif ultime. Il faut réglementer les sphères financières. Les questions environnementales – la nature et le climat – doivent être la question numéro 1 à l’ordre du jour de tous, y compris des politiciens. Nos gouvernements doivent investir massivement dans la protection de la nature, les systèmes de transport propres, l’agriculture durable et la restauration de la nature (Green New Deal, New Deal, New Deal for Nature & People).

Originally posted 2018-07-08 23:06:45.

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