Peter Finke / Professor Soil Science

Ghent University / Agricultural and environmental sciences

La traduction de ce témoignage a été générée automatiquement par un programme. Merci d’excuser les éventuelles erreurs.

Ma principale préoccupation concernant le changement climatique est que les sols peuvent stocker mais aussi perdre de grandes quantités de CO2 et de méthane, et que la gestion actuelle des sols (pour l’agriculture, la sylviculture et dans le paysage) n’entraîne pas un stockage maximal du carbone et des pertes minimales dans l’atmosphère. Je crains que de telles pertes, en particulier dans les régions arctiques, n’augmentent de façon dramatique lorsque les températures augmenteront, ce qui accélérera irrémédiablement le réchauffement planétaire. D’autres effets du changement climatique sur les sols sont que les phénomènes météorologiques extrêmes comme les sécheresses et les fortes précipitations causeront des dommages à la croissance des plantes et auront d’autres effets négatifs comme l’érosion.
Je ne fais pas confiance aux politiciens pour lutter contre ce problème et je ne pense pas que les individus doivent agir en fonction de leurs capacités. Ce que je fais pour réduire mon propre impact négatif sur l’environnement, c’est essayer de réduire mon empreinte carbone : À la maison, nous avons réduit la consommation de viande à une fois par semaine au maximum. Le chauffage de la maison est à 19°C. Nous ne prenons pas de vacances en avion. Nous avons 1 voiture. Nous évitons les matériaux d’emballage en plastique, ce qui n’est pas facile. Taxez toute utilisation de plastique ! Je me rends au travail à vélo quand je peux (4x par semaine) et quand je dois voyager en Europe, je pense prendre le train et non l’avion.
Je pense que la mentalité du public doit changer en ce qui concerne la consommation de viande, l’utilisation de plastique et l’élimination aléatoire des déchets. Je pense que l’isolement des maisons (plus anciennes) doit être amélioré par des mesures incitatives.
Le rôle des hommes politiques par profession ne me rend pas optimiste. Ils devraient (1) se concentrer sur la limitation des effets négatifs des grandes industries et des centrales énergétiques et (2) fournir et communiquer des idées et des incitations au public. Pour le premier aspect, le pays dépend d’eux, pour le second pas. Pour le premier, nous pouvons utiliser le bulletin de vote, pour le second, le bon sens.

Originally posted 2019-04-23 13:21:17.

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