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250 scientists, who are also citizens, testify to the changes they made in their lives and to their wishes so that the environment would be respected. And you, what have you already done?

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39 entries.
Créaro Créaro from Liège wrote on 7 February 2020 at 20 h 35 min
Je suis très heureux d'avoir pu réaliser ce site qui est quotidiennement visité par de nombreux internautes et permet de sensibiliser aux enjeux du changement climatique. Pour tout besoin en matière de création de site internet, n'hésitez pas à faire appel à notre agence engagée ! >>> https://crearo.net <<<
Macchu Macchu from Liège wrote on 6 November 2019 at 15 h 02 min
Importance de la planification familiale. Se limiter à 1 ou 2 enfants , cela aidera à diminuer la consommation des ressources de la planète, surtout en tant qu'"occidental". Je me suis limitée à 1 enfant et ma fille a fait également 1 enfant. Bien sûr, je trie mes déchets, je limite le plastic, je mange de la viande 1 fois par semaine, je marche beaucoup, je prends les transports en commun, j'isole la maison, je mets un pull plutôt que d'augmenter le chauffage, je ne pars jamais en croisière, très peu en avion...
Rik De Vreese Rik De Vreese from Gent wrote on 14 June 2019 at 22 h 35 min
I have to travel regularly for my job at the European Forest Institute (EFI), or for attending in other meetings. I try to avoid to fly as much as possible. Last 12 months, I could avoid to fly to Zvolen (Slovakia), Kerry (Ireland), Uppsala (Sweden), Barcelona (Spain), Mantova (Italy), etc. I consider to take the train to every place that is reachable in 24 hours by train, if my agenda allows it. Most of the time I'm able to organise my agenda in a way to fly less.
Catherine Hambursin Catherine Hambursin from Wavre wrote on 26 May 2019 at 15 h 14 min
Des gestes tout simples, au quotidien. Partir de ce qui existe. Parler de ce qui est positif. Sans juger, sans se juger si on fait des écarts. Chacun peut faire son chemin avec ses propres bagages . Montrer simplement l’exemple sans démonstration. Personnellement, je travaille sur la gouvernance partagée en classe, avec des tout petits et dans ma troupe d’impro. Je viens de finaliser un petit syllabus qui traite du sujet. J’ ai découvert ces pratiques au premier Congrès d’Écopsychologie, puis sur le site de l’UDN. Pour moi le monde est un énorme jeu de dominos. Chacun peut simplement faire basculer une petite pièce dans la bonne direction. Très belle journée à vous ! Catherine Hambursin.
Sylvain Nootens Sylvain Nootens from Bruxelles wrote on 25 May 2019 at 14 h 51 min
Les transports représentent 22% des émissions de CO2 en Belgique, et c'est le secteur qui a connu la plus forte progression de ses émissions ces dernières décennies (https://www.climat.be/fr-be/changements-climatiques/en-belgique/emissions-belges/emissions-par-secteur). De plus, les moteurs thermiques sont également une source importante d'autres polluants chimiques (oxydes de soufre, oxydes d'azote, particules fines, CO,...). Des milliers de publications scientifiques, à travers le monde, depuis des années voire décennies démontrent la nocivité de ces polluants aussi bien pour notre organisme que pour la faune et la flore qui nous entourent (donc la biodiversité). Les preuves sont là et il est urgent de réduire drastiquement l'impact environnemental de nos déplacements. Car, au final, nous en paierons le prix! Pour mes déplacements maison-travail ainsi que mes déplacements privés, j'ai refusé d'acheter une voiture et n'utilise que le vélo (350€ vélo neuf + 50€/an d'entretien) et les transports en commun (intégralement remboursés par l'employeur comme c'est de plus en plus souvent le cas en Belgique). Cela oblige à faire des choix. En effet, j'ai décidé d'habiter en ville où les transports en commun sont nombreux et où je peux facilement me rendre au boulot en vélo+train, plutôt qu'en campagne entre les champs. Ces modes de déplacement sont également envisageables dans des petites villes. Les avantages ? Des centaines d'€ économisés par an et une très bonne condition physique grâce aux trajets quotidiens en vélo de la maison jusque la gare. En plus, d'années en années, les infrastructures cyclistes s'améliorent à Bruxelles et il est facile et assez sûr de laisser son vélo une journée à la gare (les bons cadenas en U coûtent 30€ et pour éviter/dissuader les vols, enregistrez votre vélo sur Mybike.brussels). Avec l'habitude, on finit par connaitre les routes les moins dangereuses pour circuler à vélo. Et pour les très rares déplacements en dehors Bruxelles qui nécessitent une voiture, j'utilise Cambio. Cela ne coûte que quelques € par mois et vous n'êtes pas en charge des entretiens, réparations, assurances,... La majorité des gens peuvent, même seulement 1 jour ou 2 par semaine durant la bonne saison, enfourcher leur vélo (électrique ou pas) et effectuer quelques km's pour se rendre à une gare, un lieu de travail ou d'étude. Même si vous n'êtes pas remboursé (via une indemnité kilométrique), vous y gagnerez en santé car vous serez plus en forme et moins stressé chaque jour.
Dona Dona from Ottignies wrote on 22 May 2019 at 12 h 07 min
Depuis des années, nous avons adoptés de comportements qui visent à réduire notre impact sur l'environnement ? Notamment, nous avons appris à nos enfants, dès leur plus jeune âge, à se déplacer à vélo, prudemment sur les routes ; se laver avec peu d'eau , mettre un pull plutôt que le chauffage, manger local, développer le potager, de plus en plus en légumes indigènes, sans Ogm et reproductibles si pas vivaces, achat alimentaire chez le producteur, réduction de la consommation de viande rouge ( malgré nos groupes sanguins qui demandent la consommation de protéines animales) . Soins par médicaments homéopathiques (réduisant l'impact des résidus dans l'environnement ), consommation de légumes sauvages poussant dans le jardin, plus récemment, remplacement du gazon par du trèfle blanc, taille des haies une seule fois par an, en été, après les nichées, réutilisation des déchets verts dans le jardin, réemploi des emballages, réduction de ceux en plastic, isolation de la toiture en matériau naturel, sur 20 cm d'épaisseur, ... Bref, tous des petits gestes...
Labrique Baudouin Labrique Baudouin from Fontaine-l'Evêque wrote on 22 May 2019 at 9 h 42 min
P.S. En plus de ce qui est décrit plus haut, nous veillons à - tendre vers le zéro déchets - fabriquer nous-même nos produits (entretien, soins...) - faire un peu de permaculture - continuer à développer notre "écosystème" ( plus de 140 arbustes à fleurs plantés ce qui a fait revenir les oiseaux, les insectes et même des espèces que nous n'avions jamais vues ! ) - nourrir les oiseaux - à continuer à dépasser encore l'effacement de notre empreinte grise personnelle... par toutes sortes de démarches, trouvailles... - nous diffusions concrètement ce que nous avons déjà réalisé et notamment des astuces qui permettent d'économiser l'énergie sous toutes ses formes sans se priver : http://www.Autarcie.be
Labrique Baudouin Labrique Baudouin from Fontaine-l'Evêque wrote on 22 May 2019 at 9 h 36 min
Depuis 8 ans, nous avons en couple fait accéder notre habitat pourtant ancien (52 ans à ce jour) au statut BePos (énergie positive) (plus aucune dépense en consommation pour l’eau dont potable, l’électricité, le chauffage et même la mobilité depuis plus d’un an), malgré le fait qu’en 2010 la Région Wallonne (Guichet de l’énergie) et d’autres « experts » m’avaient assuré mordicus que ce que j’ai pu finalement réaliser deux ans plus tard était impossible ! Détails sur : http://www.Autarcie.be Notre habitat a été retenu par l'ASBL APERE (Association Belge pour la Promotion des Énergies Renouvelables, subsidiée par les pouvoirs publics) « comme une initiative porteuse d’avenir et créatrice d’énergie durable » dans le cadre de leur "campagne d’éducation permanente Demain, c’est aujourd’hui". http://www.apere.org/demain/index.php?option=com_content&view=article&id=103&catid=17&Itemid=142 Reportage récent dans l'émission belge "On n'est pas des pigeons" https://www.rtbf.be/info/societe/onpdp/detail_se-chauffer-a-l-electricite-en-etant-autonome-est-ce-possible?id=10152406
Louis Louis from Brussels wrote on 21 May 2019 at 1 h 31 min
Je connais plusieurs de ces scientifiques et je peux vous assurer qu'ils n'ont pas changé leurs habitudes : bagnole, poubelles non-triées, gadgets IT dernier cri, consommation énorme de papier, plastic-friendly, etc. Quand élite rime avec hypocrite
Wouter Maes Wouter Maes from Drongen (Gent) wrote on 20 May 2019 at 13 h 59 min
I'm a remote sensing scientist, specialising in drone research. I started becoming aware of the huge problem global change and biodiversity loss is presenting over 15 years ago, and ever since, trying to reduce our environmental impact is a key focus for me and my family. Since 2012 I became a vegetarian. We try to eat only local and eco food. I travel to my work by train or bike. I am closely involved in a small NGO, Trees For Farmers, focusing on sustainable afforestation in Northern Ethiopia. I am trying to reduce flights for work as far as possible. Attending scientific conferences has a huge impact on the climate footprint of many scientists - I'm trying to reduce this by either travelling by train or not attending conferences. We've recently moved to a co-housing house. It's a compact yet well designed house, constructed with eco-friendly materials (wooden structure, wood-based isolation, no concrete or bricks), is very well isolated and has solar panels. We furthermore invested in a geothermal heat pump system and are re-using rainwater for toilet and laundry. We have a common garden of about 30 000 m², which we share with 5 other families. We try to create a biodiversity-rich and pleasant garden by usin only native herbs and trees. We're not saints though. We have reduced flying a lot, but travelling is still our passion. In my professional live, it is hard to completely exclude flying, and we actually lived in Australia for two years.
Peter Vonck Peter Vonck from Turnhout wrote on 19 May 2019 at 21 h 51 min
Geachte, Ik steek al 23 jaar regenwater in de grond, heb een zonneboiler, hybride wagen maar ga te voet meestal, condensatieketel, lid Natuurpunt, ... Maar het zit in de mentaliteit van de mensen en de politiek. Het grootste deel der mensen zijn rabiate dommerikken die voor nog dommere en vooral sluwere politici kiezen . Socrates moest de gifbeker drinken, niets zal veranderen , maar alle academici en Greta, Anuna , Kyra, ... hebben zo een schitterend werk geleverd dat het me tranen in de ogen geeft. Perfect, schitterend, .... Ik ben geen doemdenker, maar de Kwade krachten zullen toch winnen van de goede helaas. Zo ging het de hele mensheid door. Toch is dat geen reden om op te geven, ook al staat de gifbeker klaar. Dank U voor alle inzet. Sorry om de waarheid te spreken, want dat mag niet !!!! Mvg , Peter
Harald Berge Harald Berge from Rixensart Belgique wrote on 19 May 2019 at 14 h 58 min
Depuis quelques années nous ne consommons presque plus de viande , nous essayons de ne consommer que des produits locaux et de saison . Nous ne voulons plus des plastics d’emballage même soit disant recyclables mais préférons les emballages papier . Nous avons diminué la température du thermostat de 1 degré, nous allons faire nos courses locales à pied et évitons à tout prix la grande distribution. Bien que favorisant la grande entreprise pour éviter la déforestation nous passons à la lecture sur liseuse avec la question que nous défavorisons le petit libraire local . Le fils de mon épouse a mis au point une imprimante 3D géante ( Colossus) pour recycler le plastic , nous n’achetons quasiment plus de bouteilles en plastic et nous essayons de ne pas acheter de vêtements inutilement et surtout de ne pas en jeter pour en faire profiter ceux qui en ont besoin ...
mariette mariette from Liège wrote on 19 May 2019 at 12 h 47 min
j'ai fortement réduit ma consommation de viande, je trie mes déchets, je ne prends la voiture que quand c'est nécessaire, ma voiture est une hybride.
Bénédicte Prévost Bénédicte Prévost from Louvain-la-Neuve wrote on 19 May 2019 at 9 h 38 min
Bonjour, J'achète tous mes produits au magasin bio, un maximum local et en vrac. J'utilise mes sachets en tissu, etc. pour ne pas utiliser sachets en plastique et en tissu. Je n'utilise plus de gel douche mais du savon. J'apporte mes contenants quand je vais chercher un repas à emporter ou mes sachets pour aller chez le boulanger. Je composte mes épluchures. Je mange mes restes du souper au petit déjeuner. Je n'utilise plus de mouchoirs, essuie-tout ou serviettes en papier que j'ai remplacés par du tissu. J'achète via une application des aliments qui devraient être jetés par le fabricant. Je donne via la donnerie tout ce dont je n'ai plus usage. Bénédicte
Jelle Jelle wrote on 17 May 2019 at 7 h 17 min
Mijn partner en ik wonen in Brussel in een appartement van 60 m², meer dan voldoende oppervlak voor een koppel. We verwarmen (nooit meer dan 18°C) op gas, dat wel, maar krijgen wel 'groene' elektriciteit. We eten geen vlees, weinig zuivelproducten, we kopen niet per se bio (het label kan trouwens bedrieglijk zijn) maar wel zoveel mogelijk uit België en met zo weinig mogelijk verpakking. Alle transport met fiets of openbaar vervoer, zoveel mogelijk reizen over land (dit jaar wel 1 keer het vliegtuig genomen). En als ik er over nadenk is onze kwaliteit van leven er niet op achteruit gegaan, integendeel.
Caroline Caroline wrote on 16 May 2019 at 11 h 31 min
Met ons gezin trachten wij zoveel mogelijk “groen” te leven. Onze woning hebben we gekozen op fietsafstand van werk, school en winkels. Onze oudere woning hebben we verbouwd zodat we meer natuurlijk licht hebben en betere isolatie. Het huis had reeds een grote regenput, dat water wordt gebruikt voor wassen, poetsen, toilet en de tuin. Kledij, meubelen en andere spullen zijn meestal tweedehands, of zelfgemaakt, stoffen kopen we bij stockverkopen of tweedehands. Wij trachten grote winkelketens te vermijden omdat deze deel zijn van het klimaatprobleem door vervoer, gebruik van pesticiden,...enz Wanneer we iets nieuws kopen kiezen we voor het meest duurzame. Sinds twee jaar hebben we vlees van het menu gebannen, en trachten we zero waste te leven. Biologische groenten, fruit en kaas kopen we op de markt bij lokale producenten. Helaas kunnen we niet alle noodzakelijk voeding zonder verpakking kopen waar wij wonen. Maar onze vuilniszak is al zeker met een derde verminderd! We maken zelf wasmiddel, gebruiken verpakkingswijze shampoo en wassen ons met natuurlijke zeep i.p.v. chemische douchegel uit een plasieken fles. Water drinken we van de kraan, en andere dranken kopen we in glazen statiegeldflessen. Voor langere afstanden gebruiken we zoveel mogelijk het openbaar vervoer, we hebben een auto maar die wordt niet dagelijks gebruikt. Beter, goedkoper en meer uitgebreid openbaar vervoer zou ons kunnen overtuigen om de auto weg te doen. We hebben een kleine stadstuin met fruitbomen, struiken en bloemen om zoveel mogelijk bijen vlinders en vogels aan te trekken. Verder trachten we ook andere mensen te overtuigen om anders te gaan leven of om over hun gedrag na te denken.
Rousselle Rousselle from Mellier wrote on 14 May 2019 at 22 h 13 min
Je me souviens d'un jour ou j'ai demande a mes enfants d ou venait le lait... reponse : des magasins. Nous vivons pourtant en Ardenne ! Nous sommes deconnectes de la nature. Nous ne savons plus combien de temps, d energie, de conditions sont nécessaires pour qu'un litre de lait existe. Par conséquent nous avons perdu le respect de ce qui nous entoure. On jette moins facilement le potiron qu'on a doucement observe grandir dans son jardin que celui qu on a rapidement achete sur le chemin du travail. Faire soi même est une manière de se reconnecter. De prendre conscience du "vrai" prix des choses. Le temps, les ressources, l'énergie humaine. Le coût financier d'un produit devait être relatif de ces coûts premiers au départ. Avec le temps, nous avons perdu cela aussi. C est un objectif vers lequel nous essayons de tendre. Faire tout "maison". Et lorsque ce n est pas possible, privilegier les producteurs locaux ou meme les industries locales mais aussi les artisans locaux. Il y en a tellement, qui n'attendent que nous. Et puis la récup ! Vêtements, meubles, design, vintage, un plaisir absolu. Il nous reste encore enormement a changer ; nous avons 2 voitures (village ardennais et longs trajets vers mon travail), nous affranchir encore un peu du regard parfois ébahi de notre entourage. Mais nous aurons bientôt notre propre maison, conçue pour être la plus autonome possible (la limite étant notre budget) ainsi qu un potager, des poules qui auront des petits noms, des arbres fruitiers, des fleurs, peut être des abeilles, un chat. Que je suis impatiente d'aller encore plus loin. Comme je suis heureuse de faire partie de ce changement. Comme je suis fière de voir mes enfants réfléchir avec nous.
aline de barros aline de barros from saint nicolas wrote on 14 May 2019 at 18 h 04 min
Nous achetons nos fruits et légumes à 80% dans une coopérative près de chez nous. Le reste on fait attention à la saison et que ça soit belge. On achète au moins d'emballage possible. On a créer un compost dans le jardin début d'année et adopté deux poules. Mon homme va au travail en vélo. Je fais pousser quelques arbres fruitiers dans le jardin. Je parle à mes enfants des petits gestes pour préserver la planète.
Claire Joassart Claire Joassart from Ottignies wrote on 14 May 2019 at 11 h 24 min
J'ai commencé à prendre le vélo, le bus ou le train pour venir travailler il y a quelques mois et j'en vois tous les avantages en termes de convivialité, de bien-être et de fierté personnelle de limiter mon emprunte carbone. Nous avons réduit drastiquement notre consommation de viande et nous consommons pratiquement exclusivement des produits biologiques (le plus possible de saison et local). Nous avons renoncé à prendre l'avion depuis déjà une dizaine d'années, ce qui est un choix qui reste interpellant pour notre entourage mais qui commence à faire sens aujourd'hui. Nous nous chauffons principalement au bois et nous privilégions plutôt la méthode "gros pull";-). Nous participons le plus possible aux mobilisations citoyennes concernant le réchauffement climatique, pour sensibiliser les politiques, mais aussi pour puiser dans le collectif la force de persévérer sans désespérer face à une situation tout à fait alarmante. Que ce soit dans ma faculté ou dans mon service (je travaille à deux endroits à l'UCL), je me joins à d'autres pour mener des réflexions dans une logique de transition. J'en parle également beaucoup avec mes étudiants. Je veille aussi à limiter mon temps d'écran et à apprendre à mes enfants à développer également d'autres modes d'accès à la connaissance et à la relation aux autres. C'est une série de micro-choix, qui vont souvent à l'encontre de ce que propose notre société d'hyper-consommation et de course à la performance, mais qui nous poussent à une plus grande conscience de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. "Moins de biens, plus de liens"...
Françoise (posté sur Facebook) Françoise (posté sur Facebook) wrote on 14 May 2019 at 9 h 05 min
Nous mangeons bio, local et de saison. La viande est pratiquement sortie de nos repas ; tout au plus un peu de volaille (toujours bio et locale) une à deux fois par mois. En termes de transport, nous bougeons avec les transports en commun en ville et j'utilise ma voiture (hybride) pour sortir de la ville, quand les connexions en train sont trop mangeuses de temps. Nous choisissons les destinations de vacances de façon à pouvoir les atteindre en train. Nous compostons les déchets organiques et limitons l'usage du plastique. Nous achetons peu de neuf. Nous éteignons tous les appareils et toutes les lumières inutiles, limitons le chauffage car il est toujours au gaz. Et nous vivons très bien 😉
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